A la fin des années 50, la Grande-Bretagne vit encore sous une chappe morale conservatrice. C'est dans cette ambiance stricte et engoncée que Paul Raymond décide d'ouvrir un club très spécial, à la fois théâtre et lieu privé, où se produisent des femmes dénudées. La réussite est au rendez-vous...
A Very Englishman
Critiques presse
On repense à «Larry Flynt» avec ce portrait qui a le mérite de ne pas être moralisateur. Steve Coogan porte le film avec un talent certain.