En 1938, Philippe Erlanger, haut fonctionnaire à l'Education nationale, journaliste et critique d'art, est ulcéré par le palmarès de la Mostra de Venise, phagocytée par les régimes fasciste et nazi. Il veut monter un contre-festival qui serait un rempart culturel face à la barbarie qui s'annonce. Jean Zay, ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, le rejoint dans son projet.
Cannes, le festival libre
Critiques presse
Nourri par quantité d’archives précieuses par leur rareté et leur éloquence, ainsi que par la narration posée et claire de Charlotte Rampling, un retour captivant et utile aux origines du Festival de Cannes.