A New York, à la fin des années 70. Michael Corleone a reconverti les affaires de la famille dans des secteurs légaux. Il a multiplié les dons à l'Eglise et s'est attiré les bonnes grâces de l'archevêque Gilday, directeur de la banque du Vatican. Gilday, au bout du rouleau, lui demande une forte avance...
Fin de cette superbe trilogie en forme d'opéra tragique, dans une version remaniée par Coppola, pour les trente ans du film. Michael Corleone, usé, passe le relais à un Andy Garcia sombre et magnétique. Pouvoir, trahison, religion, rédemption… La composition de Pacino demeure inoubliable.
Moins révolutionnaire qu’attendu, ce nouveau montage du dernier volet de la trilogie n’a qu’un seul intérêt : apporter un œil dépassionné sur un film longtemps honni mais réellement réussi.
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