En 2013, l'association Aurore se voyait confier l'occupation temporaire des anciens locaux de l'INPI, rue de Saint-Pétersbourg, afin d'y héberger et d'accompagner des familles sans domicile, rejointes par des demandeurs d'asile évacués de campements parisiens. On suit le parcours des jeunes Ange et Djibi...
Un jour ça ira
Critiques presse
Cette chronique suit deux collégiens en grande précarité dans un centre d'hébergement d'urgence où les associations travaillent à leur rendre leur dignité, par la pratique artistique notamment. Un documentaire fort et attachant.