Antoine Doinel a 13 ans. Il habite aux environs de la place de Clichy, dans un petit appartement inconfortable, entre sa mère, Gilberte, une femme maussade qui ne l'aime pas, et l'homme qui lui a donné son nom mais n'est pas son père, un être falot. Il découvre les joies de l'école buissonnière...
Les quatre cents coups
Critiques presse
Chronique d'une enfance blessée du côté de la place de Clichy. Truffaut règle ses comptes avec les non-dits de son passé. Il parle à travers un double magique, Jean-Pierre Léaud, caneton hirsute qui joue l'art de la fugue avec une virtuosité inégalée.
Premier film de la saga Antoine Doinel, une oeuvre nostalgique où, sous l'apparence du réalisme, se dessine un poème bouleversant et novateur.